J'ai écrit ce roman de janvier 2008 à mai 2009, entre le Sancerre, dans le Paris des Abbesses, les terres rouges du Saint-Chinianais, la folle ville de Beijing et le silence ensoleillé des Caraïbes. Comme toujours, détestant la solitude comme le vide, j'ai cherché autour de moi conseils et inspiration. La liste des gens que je dois remercier est un peu longue…

Il y a d'abord les personnes qui m'ont apporté une aide capitale dans la rédaction des Cathédrales du vide : Fabrice Mazza, Jean-François Dauven, Patrick Jean-Baptiste, Arnaud Allegret et ces fonctionnaires des renseignements qui m'ont demandé de ne pas les nommer mais qui se reconnaîtront…

Il y a ensuite toutes les équipes des éditions Flammarion et J'ai Lu, et en particulier Stéphanie Chevrier, Gilles Haéri et Caroline Lamoulie.

Il y a aussi la famille : JP & C, les Piche & Love, les Saint-Hilaire ainsi que le clan Wharmby.

Il y a bien sûr les amis : la Ligue de l'Imaginaire, ceux du CAEP, ceux de Château Pigalle, les frères Séchan, Yves Ragazzoli et sa bande, Bénédicte Aurion & Marion Legoaster, Sébastien Drouin, Tiphaine Scheuer, les fidèles de Montmorency-Luxembourg et, above all, tous les mousquetaires des éditions Bragelonne.

Il y a également les musiciens, ceux qui m'accompagnent sur scène, Harry, Jean, Céline et Tim (myspace.com/travaillermoins), et ceux dont la proximité fait tant de bien : le groupe Kelks, LuisA, Nicolas Vitas, Chloé Robineau et Benoît Dorémus.

Enfin, mes plus tendres pensées vont à mes trois lumières, Delphine la fée, Zoé la princesse et Elliott le dragon.