7  Tout ce début de chapitre est inspiré par des fragments de chants populaires bretons-armoricains recueillis vers l’année 1820 et groupés par Hersart de La Villemarqué sous le titre Merlin dans son recueil, le Barzaz-Breiz. Il est évident que La Villemarqué a « arrangé » les fragments dont il disposait pour en faire un récit cohérent, mais la tonalité générale révèle un schéma archaïque qui prouve la survivance du mythe de Merlin dans la tradition populaire orale.