REMERCIEMENTS
Je tiens à remercier le service de presse du ministère des Armées qui a bien voulu m’ouvrir l’accès des archives de la Légion étrangère et m’a permis de consulter les journaux de marche de ses régiments en Indochine.
Le colonel commandant le 1er régiment étranger d’infanterie, les officiers et sous-officiers du service historique de la Légion ainsi que l’équipe de Képi Blanc me procurèrent, à cet égard, un inestimable secours. Qu’ils soient ici remerciés pour leur amicale et efficace coopération.
La rédaction de cet ouvrage n’aurait pas été possible, en outre, sans l’aide des officiers, sous-officiers et légionnaires qui acceptèrent de me recevoir longuement pour évoquer à mon profit leurs souvenirs de ces combats. Je remercie donc : le général Gaultier ; les colonels Charton, Mattei, Raphanaud, Jacquot ; les commandants Magnillat et Lalague ; les capitaines Sallard et Roux ; le lieutenant Frajder, l’adjudant-chef Giacoletto, les sergents-chefs Clary, Dora, Zorro, Spies ; les caporaux et légionnaires Berger, Woliner, Dolinko, Capron, Saliceti, Giordano, Legrain, Stanis, Zeisel, Helft et Pravikoff ; ainsi que tous ceux qui m’ont demandé de respecter leur anonymat.
La mort subite du sergent-chef Maréchal me permet, hélas ! de ne pas respecter cette dernière règle en ce qui le concerne et de dire à quel point son amour et sa connaissance de la Légion, à laquelle il avait voué toute sa vie, m’ont été précieux.
À propos des officiers dont les noms reviennent fréquemment au cours de ce récit, je tiens à préciser que leurs exploits me furent dévoilés par les hommes qui servirent sous leurs ordres. En plus de ma gratitude, qu’ils acceptent mes excuses si j’ai blessé leur modestie que je sais immense : en les décrivant, j’ai surtout voulu que tous les officiers de la Légion étrangère et des Troupes coloniales ayant combattu en Indochine puissent se reconnaître à travers eux.