1 Manuscrit inédit Françoise Maous.
2 Crimes de guerre en Pologne. C. 47.331. Wydawnictwo Zachodnie Poznan, 1961.
3 Autobiographie de Rudolf Hoess publiée par le ministère polonais de la Justice et éditée en France sous le titre Le Commandant d’Auschwitz parle. Éditions Julliard, 1959. C’est au cours de sa détention à la prison de Cracovie et dans l’attente du procès, qu’il a rédigé ce témoignage hallucinant sur le conseil de ses avocats et des personnalités polonaises chargées de l’enquête sur les crimes de guerre en Pologne.
4 Gilbert G.M. Nuremberg Diary. Londres : Eyre and Spottiswood 1948. L’auteur, psychiatre de la prison américaine où fut, dans un premier temps, détenu Rudolf Hoess.
5 Le Commandant d’Auschwitz parle (déjà cité).
6 Le Commandant d’Auschwitz parle (déjà cité).
7 Le Commandant d’Auschwitz parle (déjà cité).
8 Le Commandant d’Auschwitz parle (déjà cité).
9 T. Rek : Wydawnictwo Ludowe. Éditions Populaires. Varsovie, 1949.
10 Jan Sehn : Oswiecim, Brzezinka, Wydawnictwo Prawnicze. Varsovie, 1957.
11 Le Commandant d’Auschwitz parle (déjà cité).
12 Ce but fut clairement formulé par le S.S. Pohl, chef de la W.S.H.A., sous le terme « d’extermination par le travail ». Utiliser jusqu’à leur dernière limite les forces vives des déportés et anéantir ceux qui ne pouvaient plus produire.
13 Buna-Monowitz. Usine de caoutchouc synthétique construite par l’I.G. Farben et utilisant les internés d’Auschwitz.
14 Interrogatoire de Hoess devant le Tribunal Militaire International de Nuremberg le 15 avril 1946. Extrait I.M.T. Tome XI.
15 Publié par les Éditions Grasset. Eichmann par Eichmann. Décembre 1970.
16 Le Commandant d’Auschwitz parle. Déjà cité.
17 Interrogatoire de Rudolf Hoess par le colonel John Amen (procès d’Auschwitz).
18 — Le cyclon B ressemble à de petites mottes de terre diatomée de la grosseur d’un grain de haricot imbibées d’un produit qui, sous l’action de l’humidité et d’une température élevée, libère l’acide cyanhydrique. L’homme est empoisonné par l’acide cyanhydrique lorsque l’air qu’il respire en contient 0,12 mg par litre d’air. Cet acide détruit l’action des ferments qui permettent aux globules rouges de renouveler l’oxygène absorbé par les tissus, ce qui provoque la mort par asphyxie interne. Des symptômes de paralysie du système respiratoire apparaissent, accompagnés d’angoisse, de vertiges et de vomissements. Si la concentration d’acide cyanhydrique dans l’air est assez forte, la mort est presque instantanée. Les S.S. du service des fours crématoires d’Auschwitz ne se donnaient pas la peine de calculer une dose de cyclon qui puisse, en provoquant une mort rapide, épargner aux victimes les souffrances d’une terrible agonie. Ils versaient au hasard dans les chambres le contenu de la boîte de cyclon et, pour être sûrs du résultat, laissaient les victimes 25 minutes dans le gaz. En été 1944, au moment des exécutions les plus nombreuses, ce temps fut réduit à 10 minutes cependant que par économie, le nombre des boîtes de gaz était réduit de 12 à 6.
— Dans les cheveux que l’on avait coupés aux femmes gazées, et qui ont été trouvés en quantité considérable après la Libération, dans les couvercles en zinc des ventilateurs de la chambre à gaz II et enfin dans les objets en métal (barrettes, épingles à cheveux, parties métalliques des montures de lunettes), l’expertise chimique a décelé la présence d’acide cyanhydrique et de quantités importantes de ses composés. (Rapport de l’Institut d’Expertises Judiciaires à Cracovie en date du 15-12-1945.)
— L’Association allemande de lutte contre les animaux nuisibles Deutsche Gesellschaft für Schädlingsbekämpfung) appartenant, sous le nom abrégé de Degesch, au consortium I.G. Farbenindustrie, fabriquait le cyclon B. La société du docteur Tesch et de Stabenow, connue sous le nom de Testa, était l’intermédiaire pour les livraisons de cyclon au camp d’Auschwitz. Il ressort des documents trouvés que le cyclon était apporté directement à Auschwitz, dans des camions S.S., des dépôts de cette firme à Dessau. Le relevé du chiffre d’affaires des maisons Degesch et Testa prouve qu’elles ont fourni à Auschwitz en 1942 – 7 478,6 kg et en 1943 – 12 174,09 kg de cyclon B. Les bénéfices nets de ces maisons provenant du commerce de ce poison utilisé à des fins de génocide sont passés de 45 753,78 marks en 1941, à 129 985,79 marks en 1943. (Jan Sebn.)
19 Contribution à l’histoire du K.L. Auschwitz (éphéméride de Danuto Czech). Éditions P.M.O. Cracovie, 1968.
20 Le Commandant d’Auschwitz parle. Déjà cité.
21 Le Commandant d’Auschwitz parle. Déjà cité.
22 Témoignage inédit H.F. (Budapest, 1969).
23 Claudette Bloch : Témoignages sur Auschwitz (Amicale d’Auschwitz).
24 Ukrainiens, prisonniers civils, qui achetaient leur semi-liberté en nous martyrisant.
25 « Organiser » consistait à voler aux allemeands.
26 Douma Ourisson : Les Secrets du Bureau Politique d’Auschwitz (Amicale Française d’Auschwitz), 1947. Les premières Françaises sont arrivées le 22 juin 1942.
27 Roger Arnould ; Le Chant des Marais : son histoire. Le « Patriote Résistant ». Avril 1970.
28 Les Soldats du Marais. Wolfgang Langhoff. Éditions Plon et Nourrit, Paris, 1935.
29 Roger Arnould. Déjà cité.
30 Suzanne Birnbaum : Une Française juive est revenue. Paris, 1945. Arrêtée le 6 janvier 1944, déportée de Drancy le 20 janvier pour Auschwitz, Birkenau puis en novembre vers Bergen-Belsen, Rathun et finalement Theresienstadt, où elle a été libérée le 30 avril 1945.
31 Anna Novac : Les Beaux Jours de ma Jeunesse. Julliard, 1968. Peut-être le plus beau, le plus pur, le plus grand livre publié sur Auschwitz. Écrit à Auschwitz même par une jeune fille de seize ans, dévorée par la passion d’écrire. Ce journal est un poème et « ici une vision ironique de la réalité – si atroce fut-elle – prend le pas sur la description objective du macabre. Et au long de ces pages inoubliables on voit s’ouvrir dans la peur et l’horreur un regard d’écrivain et se former un style qui tient magiquement cette horreur à distance ». Anna Novac, comme Charlotte Delbo, avec Aucun de nous ne reviendra, ou François Wetterwald avec Les morts inutiles, est allée plus loin que le témoignage ou le document… une œuvre littéraire.
32 Brochure éditée par l’Amicale Française des Déportés d’Auschwitz. 10, rue Leroux, Paris (16e). Les secrets du Bureau Politique d’Auschwitz. Septembre 1946.
33 Vol.
34 Kommandos d’Auschwitz.
35 Allemands de race.
36 Reichs Sicherheits Hauptaint (Office central de la Sécurité d’État).
37 Rouge (politiques), jaune (israélite – à partir de 1943 on a ajouté le triangle rouge), vert (condamné de droit commun), rose (homosexuels), violet ou mauve (sectateurs de la Bible, objecteurs de conscience), noir avec la lettre R (Russes), noir (associaux), jaune et noir (conjoint de Juifs ou Juives).
38 Pery Broad confia, quelques semaines après son arrestation, un long « mémoire » sur Auschwitz aux Services de Renseignements de l’armée britannique. Ce « mémoire » sera publié dix ans plus tard par le « Musée d’Auschwitz ». Ce document complète les « aveux » du commandant Rudolf Hoess car Broad sait voir et retenir « à son niveau » de témoin subalterne. Soucieux du détail et (semble-t-il) de la vérité, il n’épargne ni ses amis ni ses ennemis. Voici le portrait qu’en a brossé Dounia Ourisson :
— Le S.S. Broad était le plus instruit de tous les S.S. travaillant au Bureau Politique d’Auschwitz. Il parlait l’anglais, le français et le russe. Les œuvres de Molière et de Racine ne quittaient jamais sa table. Il aimait la musique et la peinture. Le S.S. Broad était d’origine américaine par son père ; sa mère était une Allemande de Berlin. En 1943, le S.S. Broad fut envoyé par le S.S. Schruz, successeur de Grabner, au Bureau Politique, à Birkenau, dans le camp des Tziganes pour y créer une annexe du Bureau Politique. Quand le S.S. Broad revenait à Auschwitz, il racontait avec enthousiasme, combien les Tziganes étaient musiciens et qu’il avait organisé le plus bel orchestre tzigane du monde. Au début 1944, les détenues travaillant aux fichiers du Bureau Politique reçurent l’ordre de sortir toutes les fiches des Tziganes sauf de ceux qui étaient dans la Wehrmacht avant leur arrestation. Dix mille fiches de Tziganes, hommes, femmes et enfants, furent ficelées et brûlées au crématoire à Birkenau. Deux jours après, tous les Tziganes, sauf cent à cent cinquante qui avaient servi dans la Wehrmacht et qui furent transférés à Ravensbrück, étaient conduits par le S.S. Broad aux chambres à gaz. Ce fin musicien n’avait pas hésité à envoyer au four crématoire des hommes dont il avait admiré le talent dans leurs airs nostalgiques tziganes, avec leurs femmes et leurs enfants. Après cet exploit, il revint à Auschwitz et continua de lire Molière et Racine.
(La traduction respecte le « style » de Pery Broad.)
39 Au rez-de-chaussée les fenêtres étaient grillagées ; plus tard on avait muré les fenêtres au premier étage. Les fenêtres au block 10, contigu au block 11, étaient masquées par des lattes, pour empêcher les détenus logés dans ce block d’observer ce qui se passait dans la cour du block 11, surtout les exécutions. Néanmoins les détenus, au risque de leur vie, épiaient les exécutions par les jours entre les lattes.
40 Kommandanturarrest (dépôt de Kommandantur).
41 Sachbearbeiter und Schreiber.
42 SD Sicherheitsdienst : service de sécurité.
43 « Den Bunker ausstauben. » On disait généralement au camp « nettoyer » ou « vider » un bunker.
44 « Achtung » : Garde à vous !
45 Politische Abteilung.
46 Plus encore. Les kapos et responsables de ces Kommandos, comme par exemple Bednarek (accusé au procès de Francfort) incités par les S.S, massacraient les détenus.
47 Broad ne dit pas toute la vérité : les fonctionnaires de la Politische Abteilung, auxquels il appartenait lui-même, fusillaient eux aussi les détenus.
48 Manuscrit inédit Françoise Maous (février 1970).
49 Olga Lengyel : Souvenirs de l’au-delà. Le Bateau Ivre, 1947.
50 Rudolf Hoess : Le Commandant d’Auschwitz parle. Déjà cité.
51 Myklos Nyiszli : Médecin à Auschwitz (Julliard, 1961).
52 Docteur Paul Bendel (Rapport pour le procès de Nuremberg) également in. Témoignages sur Auschwitz. Déjà cité.
53 Témoignage Kitty Hart : Auschwitz, Zeugnisse und Berichte. Francfort, 1961. Également in. Auschwitz, Léon Poliakov.
54 Témoignage Benedikt Kautsy : Auschwitz, Zeugnisse umd Berichte. Déjà cité.
55 Zofia Posmysz Sangerin : Contribution à l’histoire d’Auschwitz. PMO. Cracovie, 1968.
56 Mémoires du S.S. Pery Broad (déjà cité).
57 La date exacte de l’événement mentionné n’est pas connue. L’ancien commandant d’Auschwitz Hoess informe que c’était en automne 1942. Il raconte par les mots suivants le développement des événements : « La révolte éclata tard dans la nuit ; aussitôt après avoir reçu la nouvelle, je me suis rendu au camp et je constatai que les Françaises avaient été tuées à coups de bâton et de hache ; certaines d’entre elles avaient la tête tranchée complètement, les autres ont péri précipitées par les fenêtres du premier étage. » (Procès du commandant Hoess, tome 21. K-43.)
58 Erkennungsdienst.
59 Comme il résulte d’un journal tenu par un médecin de camp, le S.S. Obersturmführer Kremer, c’est déjà le 24 octobre 1942 qu’un Infirmier S.S. (S.D.O.) Klehr tua plusieurs détenus en leur appliquant une injection intracardiaque. L’annotation dans le journal est conçue dans les termes suivants : « Six femmes de la révolte à Budy ont reçu l’injection (Klehr). »
60 Anna Novac : Les beaux jours de ma jeunesse (déjà cité).
61 Pelagia Lewinska : Vingt mois à Auschwitz. Nagel, Paris, 1946.
62 Olga Lengyel : Souvenirs de l’au-delà.
63 Macha Ravine : Témoignages sur Auschwitz, déjà cité.
64 Zofla Kossak : Du fond de l’abîme, Seigneur… Albin Michel, 1951.
65 Les déportées.
66 Les entrantes, les nouvelles.
67 La prairie.
68 Une camarade de déportation.
69 Louise Alcan : Sans armes et sans bagages. Les Imprimeries d’Art, Limoges.
70 Manuscrit inédit : Françoise Maous (déjà cité).
71 Dounia Ourisson : Les secrets du Bureau Politique d’Auschwitz. Déjà cité.
72 M.E. Nordmann : Témoignages sur Auschwitz. Déjà cité.
73 Témoignage de Manca Svalbova publié à Prague en 1946.
74 Témoignage Manca Svalbova.
75 Maïe Fourcade (Biarritz 1905) élevée dans un couvent découvrit le marxisme en épousant le philosophe Georges Politzer. Tous deux fondèrent dès 1940 un groupe de résistance. Arrêtés le 14 février 1942. Georges Politzer sera fusillé par la Gestapo.
76 Mémoires de Pery Broad (déjà cité).
77 Conseiller d’État.
78 S.S. Standartenführer Dr Rudolf Mildner (né le 10 juillet 1902), était chef du bureau de la Gestapo de Katowice.
79 Reichssicherheitshauptamt (R.S.H.A.) Office Central de Sécurité du Reich. Créé en 1939, il était dirigé au début par Heydrich, chef de la Police de Sécurité et du Service de Sécurité et par la suite, par Kalterbrunner. L’Office englobait plusieurs bureaux (Amter), dont le bureau IV (Gestapo) et V (Kripo) étaient étroitement liés aux camps de concentration où ils expédiaient les détenus.
80 Greffier de justice criminelle : Kriminalsekretär.
81 Polizeihäftlinge, à la différence des détenus « normaux » du camp d’Auschwitz qui étaient numérotés et s’appelaient schutzhäftlinçe (prisonniers en détention préventive).
82 Le travail c’est la liberté !
83 Au cours du procès des S.S. d’Auschwitz à Francfort, les témoins affirmaient que la « balançoire » était une invention de Boger, de la Section Politique. En tout cas, c’est Boger qui avait introduit son usage à Auschwitz.
84 Eindringliche Befragung.
85 Bauleitung : Service de constructions.
86 L’événement mentionné a eu lieu le 12 février 1943.
87 On considérait comme Volksdeutschen des Polonais de Silésie annexée au Reich, qui sont restés des patriotes sincères.
88 Genickschuss.
89 Dans la cour du block 11 étaient installés un gibet, où on pendait les détenus, ainsi que plusieurs poteaux ressemblant à celui-là par leur forme. On y appliquait la peine dite « suspension aux poteaux ».
90 19 juillet 1943 à l’appel du soir, douze détenus furent pendus à savoir : Zhigniew Foltanski, Jozef Garncarz, Mieczyslaw Kuhkowki, Czeslaw Marcisz, Boguslaw Ohrt, Léon Rajzer, Tadeusz Rapacz, Edmund Sikorski, Janusz Skrzetuski-Pogonowski, Stanislas Stawinski, Jozef Wojtyga et Jerzy Wozniak.
91 Anna Novac : Les beaux jours de ma jeunesse (déjà cité).
92 Témoignage Louise Alcan. Plaquette éditée par l’Association départementale des Déportés Résistants et Patriotes de la Seine pour le 15e anniversaire de la libération des camps.
93 Les éléments de la première partie de ce chapitre figurent dans des manuscrits inédits d’Ella Lingens et dans une plaquette éditée à Vienne (Europa Verlag), 1906. Ella Lingens : Eine Frau im konzentrationslager.
94 Voir du même auteur : Les Médecins de l’impossible. Éditions France-Empire.
95 Témoignage Antoine Makowski. Revue médicale n° 1. Varsovie, 1970.
96 Des lavabos et des cabinets ont été ajoutés aux blocks n° 20 (dysentériques), n° 15 (II et plus tard III, section des maladies internes) et n° 16 (chirurgie). En même temps, il a été ajouté une construction à l’arrière du bâtiment du dispensaire et il a été réuni à la désinfection, des douches, lavabos et cabinets, dont bénéficiaient les malades de la section des maladies internes (block 19) et avant tout les malades reçus à l’hôpital (sorte de cabinet de réception). Tous ces travaux étaient terminés en principe en automne de l’année 1943. Ils étaient exécutés, en partie par les travailleurs de l’hôpital eux-mêmes et en partie par différents détenus du dehors, qui consacraient leur temps de liberté (en échange d’un peu de nourriture supplémentaire), après leur retour du travail de l’usine. Ils étaient cependant, en majorité, incorporés, pour un certain temps, en secret, dans l’état des malades.
97 Le docteur Zenon Drohocki fabriqua également un appareil destiné à remplacer les anesthésiques (qui faisaient souvent défaut) par l’électronarcose. Plusieurs déportés furent ainsi opérés. Aujourd’hui le docteur Zenon Drohocki est Maître de Recherche au Centre National de la Recherche Scientifique à Paris.
98 Olga Lengyel : Souvenirs de l’au-delà. Déjà cité.
99 Manuscrit inédit. Myriam David, née en 1917, passa sa thèse en juillet 1942. Israélite entre en novembre 1942 dans le Mouvement de résistance Combat. Arrêtée en décembre 1943. Déportée à Auschwitz.
100 On appelait « Canada blanc et rouge » le commando de femmes chargées de trier et empaqueter la nourriture (rouge) et les vêtements (blanc) contenus dans les valises que les déportes avaient avec eux dans le train.
101 Voir Les Médecins maudits, Christian Bernadac, Éditions France-Empire, 1967
102 Le block 10 à Auschwitz. Dorota Lorska. Przeglad Lekarski, n° 1. Cracovie, 1965.
103 Il figure parmi d’autres comptes rendus du camp d’Auschwitz dans les matériaux du Centre Polonais de Documentation de la Seconde Guerre mondiale (Polish Rescarde Center London).
104 Médecin à Auschwitz (déjà cité).
105 Médecin à Auschwitz (déjà cité).
106 Germaine Tillion : Cahiers de Ravensbrück. La Baconnière, Neufchâtel, 1947.
107 Olga Lengyel : Souvenirs de l’au-delà. Déjà cité.
108 Le 6 juillet 1940 ; Galinski attendra plus de trois ans avant de tenter à son tour « la belle ».
109 Témoignage Hermann Langbein : Auschwitz Zeugnisse and Berichte, Frankfurt, 1962.
110 Récit de Tadeuz Iwaszko. Contribution à l’histoire d’Auschwitz. Musée d’Auschwitz.
111 Témoignage sur Auschwitz. Déjà cité (H. Abada).
112 Dounia Ourisson : Les secrets du Bureau Politique d’Auschwitz (déjà cité).
113 Témoignage sur Auschwitz. Déjà cité (H. Abada).
114 Témoignage Marie-Élisa Cohen. Le Patriote Résistant.
115 Suzanne Birnbaum : Témoignages sur Auschwitz (déjà cité).
116 Louise Alcan : Sans armes et sans bagages. Les imprimeries d’Art, Limoges, 1947.
117 Olga Lengyel : Souvenirs de l’au-delà. Déjà cité.
118 Rapport Abada (déjà cité).
119 Hermann Langbein : Auschwitz Zeugnisse and Berichte. Déjà cité.
120 Konstanty Jagiello et Tomasz Sobanski.
121 Franciszek Dusik et Kazimierz Ptasinski.
122 Témoignage Tatania Maik (Budapest, octobre 1970).
123 Louise Alcan : Sans armes et sans bagages. Déjà cité.
124 Témoignage Suzanne Birnbaum. Un soir du mois de juin 1944 l’appel dura au moins trois heures. On se demandait pourquoi. Tard, vers huit heures et demie, un « lager kapo » passe et crie à notre blockowa : « Mala la Belge s’est évadée ! » Nous nous regardons étonnées et… contentes. Si Mala a fait cela, c’est qu’elle a pris toutes ses précautions. Mala n’a sûrement pas pris la fuite sans avoir tout eu main pour réussir son évasion, et ça c’est épatant. Elle aura sûrement emporté des documents pour prouver au monde les atrocités commises ici et on saura bientôt tout ce que nous souffrons.
125 Tatania Maik. Déjà citée.
126 Les secrets du Bureau Politique d’Auschwitz. Déjà cité.
127 Témoignage Lise Delbes (Le Monde, avril 1970).
128 Témoignage Louise Alcan.
129 Tatania Maik. Déjà citée.
130 Tatania Maik.
131 Olga Lengyel.
132 Tatania Maik.
133 Olga Lengyel.
134 Tatania Maik.
135 Dounia Ourisson.
136 Dounia Ourisson.
137 Tatania Maik.
138 Dounia Ourisson.
139 Olga Lengyel.
140 Dounia Ourisson.
141 Lise Delbes.
142 Tatania Maik.
143 Israël Gutmann : Hommes et Cendres. Tel Aviv, 1957. (Cité par Léon Poliakov. Auschwitz.) Julliard, 1964.
144 Déposition de Dow Paisikovic au procès d’Auschwitz (octobre 1963). In Auschwitz (Léon Poliakov).
145 Médecin à Auschwitz (déjà cité).
146 En réalité le 7 octobre.
147 D’après les enquêteurs du Musée d’État d’Auschwitz, ces organisateurs étaient : Zelman Gradowski, Josy Warszawski, Josef Deresinski, Ajzyk Kalniak. Lajb Langfusa, Lajb Panusz et Jankiel Handelsman.
148 Témoignage Miklos Nyiszli. Déjà cité.
149 Témoignage Dow Paisikovic. Déjà cité.
150 Témoignage Olga Lengyel. Déjà citée.
151 Israël Gutman. Déjà cité.
152 En réalité trois. Témoignage Dounia Ourisson. Déjà citée.
153 Ernst Burger, Czeslaw Duzel, Piotr Piaty, Zbigniew Raynoch et Bernard Swierczyna.
154 Thérèse Chaussing. Témoignages sur Auschwitz. Déjà cité.
155 Manuscrit inédit Françoise Maous.