N° 276
Il m’ordonna de me mettre à quatre pattes. Il se mit debout derrière moi et, avec de petites tapes insistantes, remonta mon mont de Vénus vers le ciel. Je levai donc ma lune à sa rencontre. Il tapota encore l’intérieur de mes cuisses. J’écartai les jambes. Je posai ma tête sur le lit, le cul en l’air, le dos arqué. Il ouvrit ma chatte, s’empara de mon petit bouton et se mit à l’inspecter, à le sucer et à l’agacer. Je m’imaginais cette autre fille, celle au gros cul, assise nue sur une chaise, les jambes étendues, pendant qu’il s’agenouillait devant son con. Il n’est pas vilain son con, bien que beaucoup plus grand que le mien, un con différent, timide, et alors quelle est assise alanguie, exposée et obscène, il lui lèche le clitoris, son gros clitoris rouge et turgescent de gueuse. Elle est passive, impudique. J’observe la scène secrètement, derrière une porte. Il sait que je regarde et expose de mieux en mieux sa vulve afin que je puisse voir son bouton. Elle ignore ma présence. Au moment où son bouton se dresse comme un petit coq sur ses ergots, fier, ostentatoire et affamé, je jouis. La conquête de l’autre femme est mon orgasme, ma jouissance. L’autre est ma putain – la putain en moi. Puis il prend mon con, et puis mon cul. Mon bouton à moi ruisselle de joie.