N° 156
Il pose un grand miroir doré dans ma chambre. Et puis je lui suce la bite devant, de profil, pour tester le reflet – ça en vaut la peine. Il s’assoit ensuite sur le lit et me dit : « Maintenant, tu n’as qu’à t’empaler par-derrière sur ma queue. »
Nous regardons tous les deux dans la même direction. Docile, je vais trop vite en besogne, je suis trop impatiente, et une douleur anale de vierge me transperce le cul.
« D’accord, d’accord m’apaise-t-il. C’est moi qui m’occupe de tout… »
Il me retourne, me cale sur Pink Square et pointe sa queue à mon entrée des artistes. Sans bouger, il tend le bras, trouve mon bouton et le fait vibrer jusqu’à ce que mon anneau se relâche. Alors il me pilonne le cul et m’envoie au paradis.