BEYNAC (BOZON DE)
Nouveau baron de Beynac, confirmé en 1352 en sa qualité de successeur légitime de Fulbert Pons, décédé en 1348.
BIRON (DE)
Un des quatre barons du Périgord.
BOUCICAUT (JEAN LE MEINGRE)
Maréchal de France, fondateur de l’ordre de "l’Éscu vert à la Dame Blanche" ; Jean le Meingre, dit Boucicaut ; (vers 1366-Yorkshire 1421). Il défendit Constantinople contre les Turcs (1399) et gouverna Gênes (1401-1409). Fait prisonnier par les Anglais à Azincourt (1415), il mourut en captivité.
BOURDEIL (DE)
Un des quatre barons du Périgord.
BRACHET DE BORN (HUGUES)
Fils aîné de Bertrand et de Marguerite, jumeau de Jeanne.
BRACHET DE BORN (JEANNE)
Fille aînée de Bertrand et de Marguerite, jumelle de Hugues.
BRACHET DE BORN (GEOFFROY)
Fils puîné de Bertrand et de Marguerite.
BRACHET DE BORN (LOUIS)
Fils puîné de Bertrand et de Marguerite, décédé quelques mois après sa naissance.
BRACHET DE BORN (MARIE)
Fille puînée de Bertrand et de Marguerite.
BRACHET DE BORN (THIBAUT)
Fils puîné de Bertrand et de Marguerite.
CLÉMENT VI
Pape d’Avignon de 1346 à 1352.
DERBY (HENRY DE LANCASTRE, COMTE DE)
Lieutenant général d’Édouard III pour la Guyenne.
FORSTNER (WILHELM VON)
Chevalier de l’Ordre de Sainte-Marie des Teutoniques.
GINESTOUS (GEORGES DE)
Baron de la Liquisse.
JEAN II (DIT LE BON)
Roi de France de 1350 à 1364.
KNIPRODE (WINRICH VON)
Grand Maître de l’Ordre de Sainte-Marie des Allemands (des Teutoniques), de 1352 à 1382.
LA HALLE (FRANCK DE)
Maréchal de l’ost du comte de Derby.
LANCASTRE (HENRY DE)
Voir Derby (comte de).
MAREUIL (DE)
Un des quatre barons du Périgord
MARIENBOURG
Siège de l’Ordre de Sainte-Marie des Teutoniques.
MAUNY (GAUTIER DE)
Maréchal de l’ost du comte de Derby.
MAUPERTUIS
Lieu-dit près de Poitiers.
PAPES D’AVIGNON (ÉPOQUE DU ROMAN)
Jean XXII (1316-1334), cardinal Jacques Duèze, originaire de Cahors, dont il fut évêque ; Benoît XII (1334-1342) ; Clément VI (1342-1352) ; Innocent VI (1352-1362) ; Urbain V (1362-1370) ; Grégoire XI (1370-1378).
PERALDA Y ALFAQUÈS (ALONZO)
Chevalier catalan.
PHILIPPE VI DE VALOIS
Roi de France (1328-1350). Fils de Charles de Valois (frère de Philippe IV le Bel) et de Marguerite de Sicile, il succède au dernier capétien direct, Charles IV le Bel. Décède sans héritier mâle et devient roi au détriment d’Édouard III d’Angleterre, petit-fils de Philippe IV le Bel par sa mère. La confiscation de la Guyenne incite Édouard III à revendiquer la couronne de France. Philippe VI est vaincu sur mer lors de la bataille de l’Écluse (1340) et sur terre, à Crécy (1346). Perd Calais en 1347, qui deviendra le principal point d’appui des Anglais avec Bordeaux.
POMMIERS (HÉLIE DE)
Nouveau capitaine d’armes de la forteresse de Beynac, après le départ de Michel de Ferregaye soldé par Bertrand Brachet de Born.
ROUFFIGNAC (GUILBAUD DE)
Écuyer autrefois au service de Mirepoix de la Tour, recruté par Bertrand Brachet de Born.
SALIGNAC (ÉLIE DE)
Nouvel évêque de Sarlat, après Arnaud de Royard.
SALIGNAC (ONFROI DE)
Écuyer autrefois au service du chevalier Gaucelme de Biran, recruté par Bertrand Brachet de Born.
(mots nouveaux employés dans le tome 3)
AIGLE
Hérald. : nom féminin et nom masculin.
AMOR
Amuse-gueule (invar.).
AMUSE-BOUCHE
Amour, amour courtois (expression poétique tombée en désuétude de nos jours…).
APOSTAGE
Garde, surveillance d’un bâtiment, d’un château, d’une pièce, par une ou plusieurs personnes.
ASSOMMOIR
Ouverture pour le tir vertical, percée au-dessus d’un passage.
ATONÉ (E)
Renforcé (se dit d’une pièce d’armure particulièrement soignée ou forgée).
BAGUAGE
Bagage.
BAPHOMET
Idole, à tête coupée ; soi-disant templière, que les Templiers furent accusés d’avoir adorée.
BASTARD (E)
Bâtard (e).
BAVIÈRE
Pièce d’armure protégeant les vertèbres cervicales et le menton.
BOUER (SE)
Prendre froid.
BOURRELEUR (S)
Ou bourrelier : artisan qui fabrique des pièces de cuir ou des harnais.
BRACONNIÈRE
Armure des hanches en forme de jupe, composée de deux pièces elles-mêmes constituées de quelques lames d’acier rivées et articulées.
BRASSARD
Pièce de l’armure qui protège le bras. Articulée, solidaire de l’épaule au poignet.
BRETÈCHE (OU BRETESSE)
Logette rectangulaire en saillie sur une façade construite pour en renforcer la défense.
BULLETER
Marquer d’un sceau une pièce de métal, de cuir ou un parchemin.
BUSINE (S)
Sorte de trompette. À ne pas confondre avec business…
CACATIÈRE
Nom familier pour désigner la lunette d’un endroit où l’on peut uriner et déféquer (commodités, latrines).
CANON (D’ARRIÈRE-BRAS)
Pièce d’armure protégeant le bras de l’épaule au coude.
CANON (D’AVANT-BRAS)
Pièce d’armure protégeant l’avant-bras.
CANTOU
Âtre d’une cheminée, où l’on fait cuire bouillons, soupes et aliments dans une marmite suspendue à un crochet (expression qui existe encore de nos jours, notamment dans le Périgord).
CAPLOYER
Combattre à l’épée.
CASTRAL
Relatif à la poliorcétique, l’art de construire des fortifications.
CENS
Loyer féodal en argent, payé par le tenancier pour prix de la jouissance d’une tenure ; portable, fixe, pérenne et récognitif.
CERISÉ (S)
À base d’eau-de-vie de cerise, ou qui en a le goût.
CERVELIÈRE
Pièce d’armure protégeant le cerveau d’un combattant ; emplacement mal déterminé.
CHAMPART
Loyer féodal en nature payé par le tenancier pour prix de la jouissance d’une tenure ; quérable, ne portant que sur les seules récoltes céréalières (une gerbe sur 7 ou 12 sur cent).
CHANFREIN
Partie antérieure de la tête du cheval, de la base du front au nez.
CHAUT (PEU ME)
Peu m’importe, je m’en fiche… du verbe chaloir.
CHOULE (JEU DE LA)
Ou de la soûle : jeu populaire par excellence. À l’occasion d’une fête, chacun des deux villages composait une troupe. Le but du jeu consistait à faire pénétrer une grosse balle de cuir, la choule, dans le camp opposé. Mais ce n’était pas qu’un jeu populaire. Les rois jouaient à la choule, comme Henri II. La choule existait aussi en Angleterre, sous le nom de hurling over country.
Ce jeu serait provenu de la Normandie, car tout ce qui était jeu, amusement, délassement Outre-Manche, était au Moyen Âge d’origine normande ou angevine.
CLUZEAU
Habitat troglodytique, sorte de grotte ou de cavité dans le rocher formée par érosion plusieurs millions d’années plus tôt et servant d’abri lors de la guerre de Cent Ans. On en voit de beaux exemples, notamment à Commarque et aux Eyzies.
COLOMBAGE
Pan de bois, type de mur ou de cloison dont les vides sont remplis par un torchis léger.
COTEL
Petit couteau.
COURNÉE (JEU DE LA)
Jeu extrêmement dangereux. Il consistait à lancer à l’adversaire des projectiles de pierre, sorte d’entraînement pour repousser un assiégeant lorsque l’assiégé ne disposait pas d’autres munitions.
COUTILIER (S)
Homme d’armes muni d’une miséricorde pour achever les blessés au défaut de la cuirasse, ou d’une arme d’hast pour sectionner les jarrets des hommes et des chevaux afin de faire tomber les cavaliers.
CRESPE (s)
Crepes (s).
CUBÈBE
Poivre.
CUBITIÈRE
Élément de l’armure protégeant le coude.
CUIRIÉ (E)
Élément de l’armure (brigandine ou bouclier, par exemple) renforcé de pièces de cuir.
CUISSARD (S)
Ou cuissot (s) ou cuissière (s) : protection de la cuisse, généralement rivée à la genouillère.
DÉBOUGETTER
Débourser, bailler.
DODINE
Sauce blanche accompagnée de champignons et de jus de volaille.
ÉCHIQUETÉ
Hérald. : Partition. Recoupement de lignes horizontales et verticales constituant un damier d’émaux alternés.
L’échiqueté est normalement formé de six tires verticales (on précise le nombre de tires, quand il n’est pas de six). Quand il est formé par deux traits verticaux et deux traits horizontaux, il est appelé equipolé. Qualifie toute surface ou pièce recouverte de ce motif.
ÉNARMÉ (E)
Élément de défense (un bouclier, par exemple), qui est tenu en main par des lanières ou des courroies.
ENGOULER
Avaler, engloutir.
ÉOLE
Dieu des vents dans la mythologie grecque et romaine.
ÉPAULIÈRE
Pièce de l’armure qui protège l’épaule, dont elle épouse la forme.
ESDRECIER
Se dresser, faire face, faire front.
ESPINETTE
Instrument de musique à cordes pincées.
ESPINGALE
Ou espringale. Danse comportant des sauts.
ESPINGOLE
Grosse arbalète sur roue ou danse pratiquée au XIVe siècle.
ESTER
Exercer une action en justice.
FAUDESTEUIL
Fauteuil, siège à haut dossier.
FAYDIT
Ou faidit : seigneur soupçonné d’hérésie cathare et dont les biens, les châteaux et les bénéfices sont confisqués.
FIDEI COMMES
Littéralement, compagnons de la fidélité. Hommes féaux, attachés à un seigneur.
FLANCIAUX
Flans. Desserts.
FLÛTE
Instrument de musique à vent, très prisé des troubadours, trouvères et autres ménestrels.
FORMARIAGE
Sujétion servile : droits à acquitter, progressivement rachetés contre bon argent.
FUMIGATION
Opération consistant à produire des fumées, des vapeurs désinfectantes ou toxiques.
GANTELET
Protection articulée en acier couvrant le dessus de la main et du poignet.
GENOUILLÈRE (S)
Pièce d’armure couvrant le genou, composée de plusieurs plates et ouverte vers l’arrière ; elle forme articulation entre le cuissard et la grève.
GODET (S)
Gobelet (s).
GORGIÈRE
Pièce d’armure protégeant la gorge d’un combattant.
GRÈVE
Protection du bas de la jambe à hauteur du tibia, entre la genouillère à laquelle elle se fixe, et le soleret. Composée de deux plates (avant et arrière), articulées par des charnières, elle protège aussi le mollet.
GWINDAS
Guindeaux, en langue d’oc.
HALLIER
Gros buisson, cachette du gibier.
HAUSSEPIED
Marchepied, gradin, échelon, barreau d’une échelle.
HAUTE-COUR
Intérieur de la dernière enceinte d’un château fort, avant le donjon.
HUMEUR
Les médecins du Moyen Âge portent une grande attention à la nourriture ; qu’ils considèrent comme un moyen non seulement de conserver la santé mais aussi de guérir les maladies. Selon une théorie héritée de la médecine grecque de l’Antiquité (Hippocrate, Galien) et transformée par les médecins arabes, les aliments sont en effet des composés de qualités premières : ils sont chauds ou froids et secs ou humides. Or, le corps humain est traversé de fluides ou “humeurs” qui combinent ces mêmes qualités premières : le sang est ainsi réputé chaud et humide, la colère (ou bile jaune) est chaude et sèche, tandis que les humeurs froides sont la mélancolie (ou bile noire), froide et sèche et le flegme, froid et humide. Les maladies internes étant dues, pour les médecins, à l’excès d’une humeur dans le corps, il suffit, pour obtenir la guérison, de l’évacuer ou de la faire disparaître par un régime approprié. Par exemple, on administrera aux malades souffrant d’une fièvre sévère des aliments particulièrement froids, tels les cucurbitacées ou salades – qui ne sont guère conseillées en temps ordinaire.
ICELUI, ICELLE, ICEUX
Celui-ci, celle-ci, ceux-ci. Désigne, en principe, les dernières personnes dont on a parlé.
JOUSTER
Jouter (en tournoi, à la lance épointée ou non).
JOUTE
Combat de parade entre deux chevaliers lors d’un tournoi.
JUPE DE MAILLES
Avec l’adoption de l’armure de plates, mailles cousues au vêtement de tissu porté sous l’armure.
LÀS
Hélas.
LIGNAGE
Recouvre, avec une valeur collective, l’ensemble des parents d’une souche commune. Lignée, ascendance d’une famille.
LUTH
Instrument de musique à cordes pincées.
MÂCHICOULIS
Coursière en pierre ayant les mêmes formes, les mêmes emplacements et les mêmes fonctions que les hourds (en bois). Les mâchicoulis sont parfois couverts par le toit de l’ouvrage qu’ils couronnent, soit par un toit.
MAINLEVÉE
Voir mainmise.
MAINMISE
Prise de possession, saisie, domination exclusive d’un seigneur sur les terres ou les droits d’un vassal. Une mainmise s’annule par mainlevée.
MAINMORTE
Sujétion servile. Droit qu’avaient les seigneurs sur les propriétés de leurs manants lorsqu’ils n’avaient pas de descendance.
MALAR (s) OU MALLARD (s)
Canard sauvage.
MANICLE
Au Moyen Âge, désignait une pièce d’armure couvrant et protégeant l’avant-bras et la main.
MESNIE
Maison, maisonnée, personnel attaché à un seigneur ou à une famille.
MORTE-MAIN
Droit de mainmorte.
MOUVAN (S)
Qui se déplace.
NEFFLE (S)
Ou nèfle (s) : fruit du néflier ou chose sans valeur.
OGIVE
Arc allant d’un point d’appui à un autre en passant par la clef de voûte. À partir du XIIIe siècle, la croisée d’ogives devient un élément essentiel de l’architecture. Elle forme une armature permettant de faire reposer le poids de la voûte sur les piles, soulageant ainsi les murs de ce poids.
ONGUENT
Désigne un médicament qu’on applique extérieurement pour guérir les plaies.
OREILLÈRE
Pièce d’armure destinée à protéger, en tournoi ou au combat, l’oreille d’un destrier ou d’un cavalier.
OSTISE (S)
Demeure ou tenure ; exploitation rurale d’un ost, celui qui héberge ou reçoit l’hospitalité. Par extension, réunion d’un chapitre ou d’un conseil.
PALEFRENIER
Valet qui soigne les chevaux (de palefroi).
PANSIÈRE
Pièce d’armure protégeant de l’abdomen jusqu’à la ceinture. Elle est fixée au plastron par un rivet coulissant dans une fente afin que les deux plates puissent glisser l’une sur l’autre.
PASTÉ (S)
Pâté (s).
PASTISSON
Artichaut, dit de Jérusalem.
PÉTIOT (E)
Petit (e) ; affectueux, familier en parlant d’un enfant.
PETRUS PHILOSOPHARUM
La fameuse pierre philosophale qui censée transformer n’importe quel métal en or… Par les temps qui courent, on l’attend toujours !
PIERRIÈRE (S)
Engin de jet à traction humaine. Les plus anciennes, mais les moins puissantes des catapultes.
1. Portée de 40 à 60 m
2. Boulets de 3 à 12 kg
3. Cadence de tir rapide (un tir par minute).
4. Servants : 8 à 16.
Les boulets tirés par de tels engins n’ont aucun effet sur une muraille, mais sont d’une redoutable efficacité contre les charges de chevaliers en armure.
PILETTE
Petit pilon.
PINTADEAU (X)
Petite pintade à la chair très délicate.
PIPEFARCE
Sorte de crêpe à base de vin et de fromage.
PLASTRON. t
Pièce de l’armure protégeant la poitrine et sur laquelle se fixe la pansière.
PLATE (S)
Nom commun de pièce (s) d’armure, souvent articulées sur une cuirasse.
POLIORCÉTIQUE
Se dit de l’art d’assiéger les villes et les châteaux.
PRUNELLÉ (s)
À base d’eau-de-vie de prunes, ou qui en a le goût
QUIBUS
Pâté bien garni ; vient d’un mot populaire désignant la fortune, l’argent (avoir du quibus).
ROIDE, ROIDEMENT
Raide, raidement.
ROISOLLE (S)
Rois, roit (s) ou roisel (s) : rets, filets, réseaux, et par extension, ce qui est pris dans un filet.
RONCIN (S)
Cheval de bât, sommier.
ROST
Viandes grillées.
SAIGNÉE
Purge du sang. On en mourrait souvent en l’absence de désinfection préalable.
SEMBLANCE
Semblant, ressemblant à, faisant semblant de.
SIRE (DE LA ROUTE)
Seigneur menant des chevaliers et des écuyers à un tournoi ou à une joute et chargé de répartir les gains entre son équipe à l’issue des combats.
SPONDILLE (S)
Vertèbres (s).
SOIE
Partie du poil dur d’un sanglier, partie du fer qui pénètre dans la poignée (le manche de l’arme), textile.
SORÇAINDRE
Ceinturer, étrangler, garrotter.
SPORTELLE
Insigne que portaient les pèlerins lors de leur voyage : coquille Saint-jacques, broche sur le chapeau, etc. pour se faire connaître ès qualités, la sportelle était censée les protéger tout au long du voyage et valait sauf-conduit pour tous ceux qu’ils croisaient sur leur chemin, sous peine d’excommunication.
SUSCITATION
Résurrection.
TAMBOUR
Instrument de musique à percussion ; souvent utilisé pour annoncer ou signaler la fin d’une joute, ou pour attirer l’attention des habitants lors de l’annonce d’une nouvelle.
TASSETTE
Grandes plates fixées à la braconnière pour empêcher les fers des lances de pénétrer sous cette dernière. Elles protègent ainsi les hauts des cuisses.
TONNOIRE
Bombarde, canon (l’expression vient du tonnerre).
TOURBILLONNER
Combattre en champs clos sur un pas d’armes, à la lance, à l’épée, au fléau d’armes, à la hache, ou à la masse d’armes. Par opposition à une lice où l’on joute à la lance.
TOURNOYER
Participer à un tournoi, à une joute.
TREBUCA
Trébuchet en occitan ; littéralement, "qui apporte les ennuis".
TROMPETTE,.,.
Instrument à vent très prisé, notamment lors des charges de cavalerie et lors de l’annonce des jouteurs en tournoi.
VALET D’ARMES
Simple soldat.
VAVASSAL (VAVASSAUX)le chevalier 3.htm - bookmark47
Vassal d’un vassal, dans la hiérarchie féodale.
VIANDIER (S)le chevalier 3.htm - bookmark48
Désigne, puis qualifie une personne hospitalière qui nourrit son hôte.
VILÉNIE
Action vile et basse.
VIOLE
Désigne un instrument de musique à cordes et a archer.
(complémentaire à celle des tomes 1 et 2)
ALXANDRE-BIDOU (D.) ET ALII
Danses médiévales, octobre-novembre 2007 n° 16, Histoire et images médiévales.
ARMAND (F.)
Tournois et Duels, août – septembre – octobre 2007 n° 10, Histoire et images médiévales.
ALEXANDRE-BIDOU (D.) ET PIPONNIER (F.)
La France des châteaux forts, Rennes 2002, Éditions Ouest-France.
AUBARBIER (J. -L.)
La France des Templiers, Bordeaux 2007, Éditions du Sud Ouest.
BAIGENT (M.), LEIGH (R.) ET LINCOLN (H.)
L’énigme sacrée, Paris 1983, Editions Pygmalion/Gérard Walelet.
BOURGEOIS (L.) ET ALII
Châteaux forts, nouvelles approches, novembre-décembre-janvier 2007-08, n° 11, Histoire et Images Médiévales.
CHABAUD (F.) ET ALII
Visite historique de l’île de la Cité à Paris, août-septembre 2007 n° 17, Médiéviste Magazine.
CORRÉA (J.) ET TESTUT (M.)
Châteaux en Périgord, L’Esprit des Pierres, Périgueux 2005, La Lauze.
DILASSER (M) ET ALII
Patrimoine religieux de Bretagne, Histoire et inventaire, Brest 2006, Éditions Le Télégramme.
FAU (G.)
Dictionnaire des mots oubliés, Brive-la-Gaillarde 2004, Éditions du Ver Luisant.
FUCHS (M.) ET METZ (B.)
Le Château du Haut-Kœnigsbourg, Paris 2001, Éditions du Patrimoine.
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La France fortifiée vue par Géo, Paris 2006, Éditions Solar.
LE GOFF (J.) ET ALII
La France au Moyen-Âge, 20 et 23 décembre 2004, n° 1684-1685, Le Point.
LÉVIS MIREPOIX (DUC DE)
La France féodale (tome 4 : 987-1515), Paris 1974, Jules Tallandier.
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Paris au Moyen-Âge, décembre 2004, n° 84, Les Cahiers de Science et Vie.
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Les châteaux forts dans la France du Moyen-Âge, Rennes 2003, Éditions Ouest France.
PICKNETT (L.) ET PRINCE (C.)
La révélation des Templiers, Paris 1999, Éditions du Rocher.
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L’histoire des Bretons, Brest, Histoire 2004, Bretagne magazine.
RIFAUX (P. -L.) ET BÉNARD (J. -F.)
Provins médiéval, Provins 1996, Éditions La Lézarde.
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Le Haut-Kœnigsbourg et sa région, fascicule V, Sarreguemines 1998, Éditions Pierron.
VERDON (J.)
Les loisirs en France au Moyen-Âge, Paris 1980, Jules Tallandier.
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L’âge d’Or des châteaux d’Alsace, tome 1 et tome 2, Strasbourg 1998, Éditions Michel Vogt.
WENZLER (C.)
Le guide de l’héraldique, Rennes 2002, Éditions Ouest-France.