Je tiens à remercier ici toutes celles et tous ceux qui ont permis à cet ouvrage de voir le jour. Et, avant tout autre, Anthony Rowley, l’ami qui me manque, qui nous manque tant.

Je pense aussi à Fabrice d’Almeida et à Marie-Laure Defretin, qui ont su trouver les mots pour me donner l’énergie de respecter la promesse faite à Anthony. Ma gratitude va à Camille Marchaut qui a accompagné la course impitoyable de ce texte.

Mes remerciements vont également à Nicolas Domenach et à Olivier Maison, mes « frères », pour leur patience, leurs encouragements et leurs précieux conseils. À Maurice Szafran qui m’a accordé toute sa confiance, y compris pendant l’écriture de ce livre. Et à l’équipe de Marianne à laquelle cette aventure doit tant.

Je n’oublie pas Elsa Bessot, qui, depuis dix ans, m’invente des journées qui ont plus de vingt-quatre heures.

Une pensée, enfin, pour Sophie, Lisa et Julien qui ont supporté mes absences avec bienveillance et qui furent mes meilleurs soutiens tout au long de cette campagne.