CHAPITRE V: La Terre ferme

 

 

 

 

 

Connors laissa l’accusation de sabotage de Trenton pour le moment dans la rubrique hypothèse, une mauvaise manoeuvre pouvait avoir causé l’incident.

 

Le professeur Robinson ainsi que ces deux collègues Charleston et Wyler étaient des personnes sûres, trop pour Trenton.

 

L’agent de l’O.N.I se contenta de regagner sa cabine, il avait laissé tomber une prophétie en quittant la salle de commandement:

 

"J’attend de voir ce que nous réserves l’avenir"

 

L’agent de l’O.N.I, ôta son casque et sa parqua déchiré après la chute dans le kiosque.

 

Ensuite, il sorti sa valise, l’ouvrit et y retira un revolver Tokarev, il aimait se genre d’arme car elle possédait un bon chargeur, et au prix où était les balles il préférait faire des économies mêmes en usant de matériel soviétique.

 

Cette arme était spécial, il l’avait prise à l’un des plus fameux officier vietkong de la région de Hué, le colonel Huo.

 

Quelqu’un frappa à sa cabine, il s’agissait du professeur Robinson.

 

"Que veux tu?" posa Trenton le sourire en coin.

 

La jeune femme referma la porte.

 

"Pourquoi me contredit tu tout le temps chérie?" Posa la jeune femme.

 

 

Trenton l’embrassa.

 

"Ont peut couché ensemble et n’être pas du même avis."

 

Elle leva sur lui un regard plein de surprise.

 

"Depuis quand tu crois a ses histoires de voyage dans le temps?"

 

"Depuis 6 mois, depuis que nous savons que les français ont sorti de chez les soviets un système révolutionnaire dont nous ignorons le fonctionnement. J’ai été chargé de découvrir ce que les French savaient au sujet des voyages dans le temps.

 

Ils furent interrompus par un bruit infernal et un choc terrible.

 

Ce fut là qu’il bénit son casque qu’il portait, et qui lui avait éviter de se fracasser le crâne sur le sol d’acier. Même si Linda n’avait pas appréciée de devoir s’accommoder d’un casque elle aussi.

 

Quand ils se relevèrent, un bruit affreux de tôle et de métal éclata, et le sol vibra, ils pensaient que cela était encore provoqué par un autre incident dû aux turbines qui surchauffaient.

 

Le professeur Linda robinson fut la première à sortir de la cabine, elle croisa plusieurs marins qui couraient tous vers l’avant ; le compartiment des torpilles.

 

Trenton sur ses talons les suivaient, et fut bientôt sur les lieux, il put assister au travail rapide et efficace des marins qui bouchaient une voie d’eau à l’aide d’une plaque d’acier.

 

 

Connors arriva.

 

"Encore les turbines?" Demanda Trenton.

 

"Je ne crois pas, nous avons cessez de bouger, il semble que nous soyons échouer"

 

"Quoi nous sommes au fond de l’océan?"

 

"Non !"

 

L’agent de l’O.N.I le regarda l’air surpris, il ne comprenait pas.

 

 

 

En effet, tous les rapports tendaient au constat suivant le sous-marin avait touché terre.

 

C’était incroyable, mais les pilotes n’avaient pas vue que le sous-marin s’était aventurer trop près des côtes.

 

De retour dans le PCNO Connors passa un savon aux pilotes pour leur manque de clairvoyance.

 

Ils eurent beau se défendre, Connors était courroucé.

 

Le professeur Robinson qui assistait à la scène intervint.

 

"Ne soyez pas si dur commandant !"

 

"Et si" Intervint le lieutenant Morgan "S’ils n’étaient pas fautifs, mais que ce soit les cartes qui signale la mer là où se trouve la côte, une côte qui existait autrefois"

 

 

Trenton approuva le raisonnement qui allait dans son sens.

 

 

"Oui, cela concorde avec tous ce que nous subissons."

 

Connors décida d’en avoir le coeur net et se dirigea vers l’échelle de coupé. Morgan le prit par l’épaule.

 

"Faites attention commandant, vous ignorez ce que vous aller trouver la haut."

 

Il grimaça, il avait fallu une catastrophe pour que le lieutenant et l’équipage l’acceptent. Trenton l’accompagna ainsi que le lieutenant.

 

Ce dernier laissa part mégarde tomber son casque, à sa grande surprise il se rendit compte que ses cheveux restaient sur sa tête.

 

Les effets statiques étaient passés, donc, les turbines avaient cessez de fonctionner.

 

Il trouva un ciel bleu, ainsi que le commandant et l’agent de l’O.N.I entrain de scruter le paysage qui s’offrait à eux à l’aide de jumelles.

 

C’était une baie ensoleillée, le sous-marin était ensablé au trois quart dans cette baie rocheuse, il imaginait déjà les avaries sur la coque.

 

"Où sommes nous ?"Posa le commandant, mais qui pouvait le savoir ?

 

"Je l’ignore, peut-être sur la côte coréenne ou chinoise?"

 

Morgan se mêla à la discussion.

 

 

"Nous nous déplacions en suivant notre route, si c’est la chine, il nous faut savoir où nous sommes."

 

"Et surtout quand ? Car si nous sommes dans le passée, il sera difficile de trouver des pièces de rechanges."

 

Connors leva la tête.

 

"Rassurez vous Trenton, les dégâts sont sur la coque, les machines et le système de propulsion sont encore en état."

 

La radio éclata dans tout le kiosque, la voix du capitaine Drummond se fit entendre.

 

"Etrange, les marines ce sont fait discret depuis un bon bout de temps" remarqua Trenton.

 

Drummond avait la voix nouée par l’émotion.

 

"Commandant, faites distribué des armes à vos marins, deux soviets ce sont évadés."

 

 

 

 

 

Drummond était en sueur, il portait son M-16 au côté, trois marines le suivaient.

 

Connors et Trenton étaient descendu dans le quartier d’équipage réservé aux marines et aux prisonniers.

 

Il avait suivi le conseil de Drummond et avait fait distribué à ses hommes des armes avec pour ordre de tirer à vue.

 

 

Le capitaine s’expliqua, ils étaient sur le seuil de la cabine où les 6 soviétiques étaient enfermés.

 

 

Ils trouvèrent 4 d’entre eux morts, visiblement le choc du sous-marin s’échouant sur la côte avait été particulièrement violent dans ce secteur.

 

Le corps d’un marines jonchait le sol, à ses côtes se trouvait un bras humain!

 

Drummond expliqua :

 

"Oui, ils ont profité de l’incident pour appeler un de mes gars et ils ont arraché le bras de l’un de leurs camarades morts, pour s’en servir comme d’une massue !"

 

"Les monstres" Dit Connors dégoûté.

 

"Nous étions occupés depuis quelques heures à nous remettre de l’incident survenu aux turbines, j’ai deux de mes hommes qui ont été affecté, car nous sommes logés assez près d’elles."

 

"Inutile de vous expliquer capitaine" l’interrompit Connors." Nous avons des choses bien plus importantes à faire".

 

Trenton intervint.

 

"C’est Kondratiev et Danilov qui ce sont enfui, ils sont dangereux, je vous conseil de mettre deux gardes armées à chaque écoutilles."

 

Un appel dans l’interphone adresser au commandant interrompit Trenton, on signalait que l’écoutille donnant sur la sortie de secours avant avait été ouverte.

 

 

"Ils ce sont fait la malle les ruskof" Dit Le sergent Drummond qui arriva en courant.

 

"Allez à leur poursuite !" Ordonna le capitaine.

 

 

 

 

 

L’analyse de la situation était assez confuse, tout portait à croire qu’ils avaient belle et bien voyager dans le temps, mais cela paraissait si incroyable que personne à bord n’osait l’avouer ouvertement.

 

Tous les membres d’équipages furent bientôt mis au courant, et chacun allait de ses explications, les unes toute plus farfelues que les autres.

 

Entre-temps, le commandant Connors avait organise une équipe charger d’inspecter l’état de la coque, 5 marins sortirent à l’extérieur, par des échelles de coupé, ils foulèrent le sol ensablé et rocailleux de cette baie étrange.

 

Tandis que Connors accompagner par trois de ses marins et le lieutenant Morgan inspecta la salle ou les turbines éléctro-magnétique se trouvaient.

 

Le professeur Linda Robinson assurait le commandement de l’équipe qui depuis le début tentait de mettre de l’ordre dans la salle, car la surcharge magnétique responsable peut-être de l’hypothétique bond dans le passée avait été chamboulé.

 

C’était comme une tornade l’avait traversé.

 

 

Aux cotés, du professeur Robinson, ses deux assistants tentaient tant bien que mal de résoudre l’énigme de la soudaine surcharge des turbines éléctro-magnétique.

 

La professeur était des plus sceptiques.

 

Connors n’obtint d’elle que de vagues explications mêler de paraboles mathématiques que seul Morgan qui avait étudié la physique pouvait comprendre.

 

Il décida d’abandonner, et se contenta de faire une petite inspection de la coque dans la salle, elle n’avait rien eut.

 

"Monsieur" l’interphone l’appelait.

 

Connors se rendit à l’interphone encastré dans la paroi, et répondit.

 

Ont lui annonça que le sergent Drummond était revenu bredouille.

 

Tout a coup, quelque chose se produisit, comme un éclair et les cheveux de tous se dressèrent sur leurs têtes, robinson ouvrit la bouche mais rien ne sorti.

 

Connors vis seulement que l’une des turbines s’était soudainement mise à fonctionner encore a plein régime.

 

Tous ceux qui étaient dans ses environs furent projetés au sol.

 

Quand cela s’arrêta, Connors se releva et se précipita pour aider ceux qui étaient sonné.

 

A part quelques étourdissements, personne n’était blessé.

 

 

"Que c’est-il passé?" Posa Morgan en se massant le crâne, ses cheveux étaient retombés.

 

"Je l’ignore" Dit Connors.

 

Trenton se rendit dans les soutes, un marine était posté sur le pallier d’une cabine, il le laissa entré.

 

Une personne était assise dans le coin de la cabine sur un tabouret, portant des menottes.

 

L’homme était grand et était vêtu d’un battle-dress sale, comme si ont l’avait sorti de la jungle après plusieurs mois.

 

C’était John Flint, son regard était inexpressif, son visage était tuméfié signe qu’il avait été battu, et Trenton était celui qui l’avait battu ainsi Trenton hésita un moment, puis tout a coup sorti son Tokarev et ensuite lui enleva ses menottes.

 

"Debout!"

 

Flint se leva sous la menace de l’arme.

 

"Sort d’ici, j’ai besoin de toi en ce moment."

 

L’autre émis un simple toussotement et sorti de la cabine.