REMERCIEMENTS

J’ai la chance de travailler pour le magazine Fortune, avec quelques-uns des meilleurs, des plus intelligents, des plus dévoués et des plus aimables journalistes de presse économique du monde. John Huey, le rédacteur en chef de Time Inc., qui est un fan acharné d’Apple et un journaliste qui aime raconter – et entendre – de belles histoires, m’a donné sa bénédiction pour publier ce livre et m’a encouragé à l’écrire. Andy Serwer, directeur de la rédaction de Fortune (et aussi mon patron), a eu l’idée de l’article sur lequel est basé cet ouvrage et me l’a confié. Il a aussi gracieusement consenti à me laisser prendre un congé pour écrire le livre qui en est issu. Parmi ses nombreuses autres qualités, Andy Serwer est un directeur de rédaction perspicace et un leader exemplaire et réfléchi. Je suis fier d’écrire pour un magazine qu’il dirige. Stephanie Mehta a corrigé mon article original d’une main assurée et d’un œil expert. Elle est imperturbable, tout comme les dirigeants d’Apple dont je parle dans ce livre, et je la remercie pour ses conseils et son amitié. Je ne serais pas là où j’en suis actuellement comme journaliste sans le soutien et les conseils de nombreux collègues de Fortune, qu’ils y travaillent encore ou non, parmi lesquels, Rik Kirkland, Rick Tetzeli, Eric Pooley, Hank Gilman, Jim Aley, Nick Varchaver, Brian O’Keefe, Daniel Roth, Jeffrey O’Brien, Miguel Helft, Jessi Hempel, Leigh Gallagher, Jennifer Reingold, Mia Diehl et Armin Harris.

Doris Burke est l’une des meilleures correctrices du pays. Je n’aurais pas pu écrire ce livre – ni rien d’autre de ce que j’ai publié ces cinq dernières années – sans son assistance, notamment son souci du détail, son enthousiasme et sa bonne humeur. Richard Nieva a rejoint ce projet alors qu’il était presque fini, mais y a rapidement contribué, avec enthousiasme, grâce à ses recherches critiques.

Chez Apple, Katie Cotton et Steve Dowling m’ont toujours accueilli chaleureusement et, tout au long de l’année 2011, ont répondu à autant de questions qu’ils le pouvaient. Je les remercie pour leur respect et leur professionnalisme.

Quelques livres m’ont particulièrement été utiles pour comprendre l’histoire d’Apple et la nature de son leadership, notamment : Narcissistic Leaders : Who Succeeds and Who Fails (Leaders narcissiques : ceux qui réussissent et ceux qui échouent) de Michael Maccoby ; Return to the Little Kingdom : How Apple and Steve Jobs Changed the World (Retour au petit royaume : comment Apple et Steve Jobs ont changé le monde) de Michael Moritz ; The Pixar Touch : The Making of a Company (La touche Pixar : création d’une entreprise) de David Price ; et The Second Corning of Steve Jobs (Le second avènement de Steve Jobs) d’Alan Deutschman.

Tous les auteurs devraient avoir un agent comme Esmond Harmsworth et un éditeur comme John Brodie. J’ai rencontré Esmond Harmsworth après avoir publié un article sur Google qui avait fait la couverture de Fortune en 2006. Il m’avait demandé si je voulais écrire un livre sur Google. Ce projet ne s’est jamais concrétisé, mais son enthousiasme contagieux m’avait inspiré et je disais souvent que j’écrirais un livre, un jour, au moins pour faire plaisir à Esmond Harmsworth. Ses conseils avisés m’ont été inestimables pour mener à bien ce projet.

John Brodie a été mon collègue à Fortune pendant trop peu de temps. Il arrivait à créer à lui tout seul une atmosphère spirituelle, cultivée et exubérante, qui rendait le travail en sa compagnie très agréable. Il est tout ce qu’un éditeur devrait être : il manie le fouet d’une main et distribue les éloges dans l’autre. Il m’a fait un certain nombre de suggestions mais m’a toujours laissé décider et, à chaque instant, il était là pour m’encourager. Je suis parfaitement conscient de son immense contribution et je lui en suis reconnaissant. Mais s’il a contribué à ce livre, j’assume l’entière responsabilité de chaque mot qui apparaît sur ces pages.

Les amis et parents des auteurs ne savent pas ce qui est le pire : le peu d’attention qu’ils reçoivent des écrivains plongés dans un projet ou les regards noirs qu’on leur lance quand ils veulent s’enquérir de l’avancée du travail. Je suis reconnaissant envers tellement d’amis, qui m’ont nourri, encouragé et distrait avant et pendant l’écriture de ce livre : Chuck Coustan, Jamie Dubey, Michael Newman, David Richter, Dave Kansas, Daniel Gross, Scott Thurm, Bill Campbell, Quincy Smith, Jennifer Newton, John Needham, Drew et Stephanie Hess, Pam Baker et Doug Friedman, et Oliver Fringer et Krista Donaldson.

Mes sœurs, Paula et Amy Lashinsky, m’ont apporté exactement le bon équilibre entre curiosité, fierté pour leur petit frère et respect du peu de temps que je pouvais leur accorder. Mon père, Bernard Lashinsky, a toujours été mon lecteur le plus attentif, mon supporter le plus ardent et mon modèle. Il m’a notamment appris très jeune que l’on ne peut pas faire de plus grand compliment à quelqu’un qu’en lui disant qu’il est un menschxvi. Papa, tu es un super-mensch et je t’aime.

Je dédie ce livre aux trois générations de femmes de ma vie. Ma mère, Marcia Morris Lashinsky, qui m’a transmis son amour des mots, sa vénération des livres et son amour inconditionnel. Elle aurait adoré avoir un iPad et j’aurais vraiment aimé avoir son avis sur ce livre. À défaut de cela, je chéris et honore son souvenir. Ma femme, Ruth Kirschner, est mon partenaire et la personne auprès de qui je teste mes idées. Nous jonglons joyeusement avec nos deux carrières – qu’elle ait compris mon besoin de m’isoler afin de finir ce livre me rend d’autant plus reconnaissant – tout en trouvant le temps de nous amuser comme des fous. Enfin, car c’est la dernière arrivée dans la famille, ma fille de cinq ans Leah Lashinsky, à qui je lis des livres depuis qu’elle est née, ou presque. Elle me rappelle chaque jour ce qui est vraiment important dans la vie.