APPENDICE

 

 

Les noms des dauphins donnent souvent l'impression d'être d'origine japonaise ou polynésienne. En certains cas, c'est vrai mais, en général, un fin se choisit un nom en fonction d'une sonorité qui lui plaît et c'est d'ordinaire un mot polysyllabique comportant une nette alternance de voyelles et de consonnes.

En anglique, les termes « homme », « hommes » ou « humanité » sont appliqués aux humains sans distinction de sexe. Lorsque ce dernier doit être précisé, une humaine est désignée par le terme « fem » tandis qu'un humain l'est par celui de « me! ».

Les langues delphiniennes sont une invention de l'auteur et n'ont en rien la prétention de correspondre aux moyens de communication dont disposent à ce jour les dauphins et les baleines à l'état naturel. Nous commençons seulement à comprendre la place qu'occupent les cétacés dans notre monde, tout comme nous ne faisons qu'aborder la connaissance de notre propre place.

L'auteur désire remercier tous ceux qui l'ont aidé dans sa tâche par leurs conseils, leurs critiques ou leurs encouragements et, en particulier, Mark Grygier, Anita Everson, Patrick Maher, Rick et l'allie Harper, Ray Foist, Richard Spahi, Tini LaSelle, Ethan Munson et, comme toujours. Dan Brin. Lou Aronica et Tappan King de chez Bantam Books se sont également révélés d'un très grand secours par leurs encouragements à la persévérance lorsque le moral était au plus bas.

L'univers est un jardin aux sentiers qui divergent, tant dans la réalité que dans l'imaginaire. Les personnages de ce roman sont entièrement fictifs mais il se peut qu'un jour nos amis mammifères deviennent également nos associés. Nous devons à cet avenir possible de laisser survivre le potentiel qu'ils représentent.

 

DAVID BRIN

Août 1982