i Nicolas Hulot, Pour un pacte écologique, Calmann-Lévy, 2006.
ii M. Schwarzbach, Wegener : le père de la dérive des continents (1880-1930), Belin, 1999.
iii Caltech : California Institute of Technology.
iv D. Meadows, J. Randers, W. Behrens III, Limits to Growth, London, Potomac Associate Book, 1972.
v Massachusetts Institute of Technology.
vi Gérard Mégie, « Ozone, l’équilibre rompu », Revue du CNRS, 1989. T.E. Graedel et P.J. Crutzen, Atmospheric Change, Freemann, 1997.
vii Ville située à quelques kilomètres de la plus grande mine d’amiante, dont les hommes travaillant directement en contact avec l’amiante étaient contaminés de manière tragique alors que les femmes, qui nettoyaient pourtant leurs vêtements, ne semblaient pas affectées.
viii Claude Allègre, Quand on sait tout, on ne prévoit rien, Fayard, 2004.
ix Jean Marc Jancovici, Changement climatique, Université Total.
x Bjørn Lomborg, L’Écologiste sceptique, Le Cherche Midi, 2004.
xi F. Ewald, C. Gollier, N. de Sadeleer, Le Principe de précaution, PUF, « Que sais-je ? », 2001, p. 34.
xii Luc Ferry, Le Nouvel Ordre écologique, Grasset, 1992.
xiii Le Débat, no 60, août 1990.
xiv Roy Lewis, Pourquoi j’ai mangé mon père, Actes Sud, 2000.
xv Le germen est tout ce qui se transmet à travers la reproduction, c’est-à-dire les gamètes, les spermatozoïdes, les ovules. Le soma, c’est tout ce qui meurt avec l’individu.
xvi Michael Crichton, État d’urgence, Robert Laffont, 2006.
xvii Rapport du GIEC 2006. Voir chapitre suivant.
xviii D’autant plus que j’ai reçu beaucoup plus de messages d’encouragement et d’approbation par des scientifiques éminents.
xix Philippe Descola, Par-delà nature et culture, Gallimard, 2006.
xx Jean Jacob, Histoire de l’écologie politique, Albin Michel, 1999.
xxi François Ewald et al., Le Principe de précaution, op. cit. ; Ph. Kourilsky et G. Viney, « Le principe de précaution », rapport remis au Premier ministre, Odile Jacob/La Documentation française, 2000 ; Al Gore, Sauver la planète, Albin Michel, 1993.
xxii François Ewald, Le Principe de précaution, op. cit.
xxiii Hubert Curien, « Science et connaissance des risques. Risquer », Les Cahiers de l’assurance, no 44, oct.-déc. 2000.
xxiv Claude Allègre, Quand on sait tout…, op. cit.
xxv Philippe Kourilsky et Geneviève Viney, op. cit.
xxvi Claude Allègre, Économiser la planète, Fayard, 1990.
xxvii Daniel Cohen, Trois leçons sur la société postindustrielle, Seuil, 2006.
xxviii Douze clés pour la géologie, Belin, 1987.
xxix Voir par exemple : T. E. Graedel et P. Crutzen, Atmospheric Change, Freeman, 1997. E. Bryant, Climate Process at Change, Cambridge Univ. Press, 1997. Y. Lenoir, La Vérité sur l’effet de serre, La Découverte, 1992.
xxx Voir Jean Pierre Chalon, Combien pèse un nuage, EDP Sciences, 2002.
xxxi Certains météorologistes n’y croient toujours pas mais restent discrets.
xxxii On n’applique pas le calcul des probabilités et des méthodes statistiques standard aux sciences de la nature ou aux sciences humaines sans précautions. Entre autres, John Maynard Keynes a écrit un traité des probabilités entièrement consacré à se sujet.
xxxiii Par exemple, la courbe de Jones prétend que les incertitudes sur les océans au XIXe et au XXe siècle étaient inférieures à celles mesurées sur les continents alors que les données étaient trois fois plus mauvaises et cinquante fois moindres !
xxxiv N. Caillon et al., in Science, 14 mars 2003.
xxxv Dennis Hartmann, Global Physical Climatology, Academic Press, 1994.
xxxvi Pourtant, l’augmentation des cyclones et de leur puissance est un aspect très débattu. Des experts comme Peter Wester, Georgi Tech et Kary Emmanuel affirment que les cyclones ont augmenté en puissance et en nombre, alors que Christophe Landsea du Centre national des cyclones à Miami ou William Gray du Colorado nient totalement cette augmentation. (Nature 4, mai 2006.)
xxxvii E. Le Roy Ladurie, Histoire humaine et comparée du climat, Fayard, 2 vol., 2004 et 2006.
xxxviii On appelle « forçage » les variations externes au système qui obligatoirement « forcent » le système à se modifier.
xxxix W. Soon et S. Baliunas, Consensus Can Be Bad for Climate Science, the Heartland Institute, 19 janvier 2005.
xl Marcel Leroux, Global Warning : Myth or Reality ? The Ening Way of Climatology, Praxis Springer, 2005.
xli L’équipe danoise de Henrik Svensmark va plus loin. Elle donne une explication à cette influence solaire. Le rayonnement cosmique galactique (flux de particules venant de l’explosion des supernovae) tombe sur la Terre, mais son intensité est modulée par le champ magnétique, lui-même déterminé par l’activité solaire. Or, ce rayonnement galactique provoquerait d’après leurs expériences la formation de nuages. La corrélation entre la densité de nuages de basse altitude (donc refroidissant le climat) et le flux de particules galactique est impressionnante. On pourrait aussi expliquer l’accroissement de la température en faisant remarquer que depuis 1985 le soufre et les poussières ont décru dans l’atmosphère par suite des règlements contre la pollution et les pluies acides. Or, soufre et poussières sont des facteurs de refroidissement.
xlii Yves Lenoir, Climat de panique, Favre Edit, Lausanne ; La Vérité sur l’effet de serre, op. cit.
xliii Bjørn. Lomborg, L’Écologiste sceptique, op. cit.
xliv Michael Crichton, État d’urgence, op. cit.
xlv André Fourçans, Effet de serre, le grand mensonge ?, Seuil, 2002.
xlvi Cécile Philippe, C’est trop tard pour la terre, J.C. Lattès, 2007.
xlvii Pierre Kohler, L’Imposture verte, Albin Michel, 2002.
xlviii Mais une procédure nouvelle s’instaure depuis 2007. Le rapport court a été publié en février mais le support scientifique qui lui a servi de base ne sera publié que plus tard. Pourquoi ? Certains prétendent qu’il subira des corrections a posteriori.
xlix GIEC 1996. Deuxième rapport d’évaluation ONM PNUE, p. 22.
l J. Weynant, J. Hill, The Energy Journal, Kyoto Special Issue, 1999. Ce numéro spécial contient des articles de Maune et Richells, McKracken et al., Jacoby et Wing, Nordhaus et Boyer, Kurosawa et al., etc. EIA, Impacts of the Kyoto Protocol on US Energy Markets and Economic Activity, US Dpt of Energy, 1998.
li Et ça ne marche pas, comme vient de l’établir un récent rapport de Science, janvier 2007.
lii Richard Lindzen, « Climate of Fear », Wall Street Journal, nov. 2006. Il montre comment des météorologues doutant de l’effet de serre ont perdu leur emploi, comment les projets de recherches qui n’étaient pas a priori favorables ont été refusés, comment les articles critiques ont été refusés.
liii Manque de chance, aujourd’hui le sommet du Kilimandjaro a plus de neige que depuis trente ans !
liv C’est l’enfoncement progressif du volcan dû à son propre poids, la ceinture de corail grossit pour rester à la surface. Du coup, on passe par le stade Tahiti, puis Bora Bora, puis la barrière de corail seule.
lv Pascal Bruckner, La Tyrannie de la pénitence, Grasset, 2006.
lvi Wallace S. Broecker, How to Build an Habitable Planet, LDGO Press, 1985.
lvii Nigel Lawson, The Economics and Politics of Climate Change, Centre for Policy Studies, pp. 15 et suiv.
lviii Wallace S. Broecker, Protection against Excessive Global Warning, Science or Earth Matters, January 1993.
lix Le président de Shell a dû démissionner car il avait annoncé des réserves très supérieures aux estimations réelles des spécialistes.
lx K. Deffeys, K. Huberts Peak : The Impeding World Oil Shortage, Princeton University Press, 2001.
lxi L’état supercritique est celui dans lequel il n’y a pas de distinction entre l’état gazeux et l’état liquide. Si on veut caricaturer, c’est quelque chose de « liquide très chaud ».
lxii Wallace Broecker propose même de « pomper » le CO2 de l’atmosphère et de le stocker en profondeur.
lxiii Et c’est pour cela que le gouvernement canadien vient de recommander de ne plus se chauffer au bois !
lxiv Sophie Lepault, Il faut désobéir à Bové, La Martinière, 2005
lxv L. M. Houdebise, OGM : le vrai et le faux, Le Pommier, 2003.
lxvi Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement.
lxvii Rapport de l’Académie des sciences, R. Douce (président), décembre 2002.
lxviii Je renvoie pour un exposé simple à mon livre, Un peu plus de science pour tout le monde, Fayard, 2006.
lxix Dominique Lecourt, Humain – post-humain , PUF, 2003.
lxx M. Camdessus, B. Badré, Y. Chéret, P.-F. Ténière-Buchot, Eau, Robert Laffont, 2004.
lxxi 1 kilomètre cube = 1 km3 = 1 milliard de mètres cubes = 109 m3. 1 mètre cube = 1 m3 = 1 000 litres.
lxxii Avant 1960, l’Amou-Daria et le Syr-Daria apportaient ensemble 55 milliards de m3 d’eau à la mer d’Aral. En 1985, cet apport est tombé à 7 milliards, l’autre partie étant pompée pour le coton. Dans le delta, le nombre d’espèces d’oiseaux est tombé de 173 à 38. Vingt des 24 espèces de poissons ont disparu. Soixante mille emplois liés à la pêche ont été supprimés. La mer d’Aral est un lac salé qui s’assèche un peu plus chaque jour.
lxxiii M. Detay, La Gestion active des aquifères, Masson, 1997.
lxxiv Pays en voie de développement.
lxxv Voir Claude Allègre, Économiser la planète, op. cit.
lxxvi Voir la revue Science du 11 juin 2004 où une série d’articles fait le point sur ce problème.
lxxvii E. Wilson, La Diversité de la vie, Odile Jacob, 1993.
lxxviii Robert Barbault, Un éléphant dans un jeu de quilles, Seuil, 2005.
lxxix J. Lawson et R. May, Extinction Rates, Oxford Univ. Press, 1995.
lxxx Robert Barbault, op. cit.
lxxxi Il est préfacé par Nicolas Hulot, preuve que je ne fais pas de fixation sur les hommes, mais plutôt sur les idées qu’ils expriment.
lxxxii L. Laubier, Vingt Mille Vies sous la mer, Odile Jacob, 1992.
lxxxiii Institut de recherche pour le développement.
lxxxiv Francisco Chavez, John Ryan, Salvador Lluck, « Cota Migue Niquen », Science, 10 janvier 2003.
lxxxv W. Schlesinger, Biogeochemistry, Academic Press, 1997.
lxxxvi Écologie des villes, écologie des champs, Fayard, 1993.
lxxxvii Le problème de l’eau a déjà été évoqué.
lxxxviii W. Schlesinger, op. cit.
lxxxix Le labyrinthe du Jardin des plantes aussi.
xc P. Desrochers, Comment la recherche du profit améliore la qualité de l’environnement, cahier de recherche de l’IEDM, Montréal, avril 2003.
xci Daniel Cohen, op. cit.
xcii Par exemple John Meynard Keynes, dans sa célèbre lettre à Harrod de 1938 : « Economics is essentially a moral science and not a natural science. »
xciii Amartya Sen, L’économie est une science morale, La Découverte, 2003.
xciv Ibid.
xcv Serge Latouche, op. cit.
xcvi Rapporté par le journaliste S. Kaufman, dans Le Monde du mardi 13 février 2007.
xcvii Daniel Cohen, op. cit.
xcviii Lester Thurow, Head to Head, Harper Collins Publishers, 2003.
xcix Jacques Attali, Une brève histoire du futur, Fayard, 2006.
c Dans Economics of the Environment, Dorfman et Dorfman Norton.
ci Department of Energy, qui a mis en place deux programmes très ambitieux, Futur Gen et CO2 CRC, donc on peut consulter le programme sur Internet et qui mobilise beaucoup de ressources intellectuelles et industrielles des États-Unis.