Monsieur Biderman de Bordeaux, la ville pas la couleur, voudrait savoir s’il reste des places au théâtre du Gymnase pour mon spectacle. Ça tombe très bien, nous sommes très bien placés pour répondre. Alors si vous voulez c’est bourré, complètement bourré même, mais ça manque d’émeute, alors ne vous gênez pas, venez armé et tirez si on vous donne pas de places !
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Cher public, vos applaudissements me vont droit au cœur et droit au portefeuille de Paul Lederman !
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Alors, le chemin de la richesse, c’est pas dur, je vais vous dire comment faut faire pour y aller : tu prends à droite, puis après tu prends à gauche, puis après tu prends en face, puis après tu prends derrière et quand t’auras pris partout tu seras bourré de pognon.
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— Comment cela, vous me dites que vous n’avez encore jamais vu de billets de 150 francs, alors comment pouvez-vous prétendre que celui-ci est un faux ?
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Deux choses importantes à acheter pour les années qui viennent : un bon plumard et une bonne paire de pompes. Parce qu’en général quand on n’est pas dans l’un, on est dans l’autre !
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