[1]  Philosophe néoplatonicien, né dans la seconde moitié du IIe siècle apr. J. -C.

[2]    62,40 mètres x 20,80 mètres.

[3]    En égyptien, Sobek-khou.

[4]    Abydos se trouve à 485 kilomètres au sud du Caire (près de l’antique Memphis) et à 160 kilomètres au nord de Louxor (l’ancienne Thèbes).

[5]   Quatre coudées, trois palmes et deux doigts selon Manéthon.

[6]   S-n-Ouseret, d’où la transcription Sésostris. Autre interprétation : « le frère d’Osiris ». Sésostris III monta sur le trône vers 1878 av. J. -C.

[7]  l’actuel Qaou el-Kébir.

[8]  Sep tepy, « la première fois ».

[9] Trente kilomètres au nord d’Elath (Edom).

[10]  Khenty-Imentyou.

[11]  Son nom moderne est Sérabit el-Khadim, un plateau d’une vingtaine de kilomètres carrés.

[12]  Hathor est une transcription de l’égyptien Hout-Hor. Hout signifie « demeure, domaine, temple ».

[13]  Seizième province de Haute-Égypte dont le site archéologique le plus connu est celui de Béni-Hassan.

[14]  Ménat-Khoufou, « La nourrice de Khéops ».

[15]  Sur les pistes modernes, prévues pour la compétition, les athlètes peuvent parcourir cette distance en un peu plus de six heures. Le calcul établi pour époques anciennes tient compte des difficultés du terrain et des constatations effectuées au Kenya, par exemple.

[16]  L’actuelle Naplouse.

[17]  Son nom complet était Séhotep-ib-Râ, « Celui qui donne la plénitude au cœur de la Lumière divine ».

[18]   La coiffe nemès.

[19]    Shendjyt, « le pagne » ; shendjet, « l’acacia. »

[20]  Le Spéos Artémidos, proche de Béni-Hassan.

[21]  Là résidait l’Ogdoade, communauté de huit divinités créatrices réparties en quatre couples.

[22]  Son nom complet était Djéhouty-Hotep, « Thot est en plénitude ».

[23]    Maa-sedjem.

[24]    Hiéroglyphes est un terme grec qui signifie « gravures sacrées ». L’appellation égyptienne est medou neter, « paroles de Dieu ».

[25]  D’après les recherches de J. -C. Goyon sur la plante heden.

[26]  Ptah-Hotep, Maxime I (voir Ch. Jacq, L’Enseignement du sage égyptien Ptah-Hotep, p. 45-46).

[27] Maxime 39.

[28]  Maâ-kherou.

[29]  Environ 6,50 mètres.

[30] Les détails concernant le transport du colosse sont tirés des représentations et des textes de la tombe de Djéhouty-Hotep à El-Bercheh.

[31]  Ouâbet

[32] Mérout.

[33] Oureshout.

[34]  Kahoun était effectivement bâtie selon la Divine Proportion ou Nombre d’Or.

[35]  L’âme, ba, s’écrit avec un oiseau, le corps, khet, avec un poisson.

[36] De l’expression égyptienne, per-aâ, « la Grande Demeure », « le Grand Temple », vient le mot pharaon.

[37]  Cusae.

[38]            L’ouas.

[39] .          L’ânkh.

[40]            Telle est la figure représentée sur son sarcophage en bois qui comporte le texte du Livre des Deux Chemins.

[41]  Je dois cette remarquable expression à l’une de mes lectrices, Mme Ingrid A. Qu’elle en soit remerciée.